"Nôtre liberté s'arrête là où commence celle des autres" ce qu'il faudrait rajouter c'est " Nôtre aliénation commence aussi là où s'arrête celle des autres".
On est en droit en effet de se poser la question: pourquoi l'homme est-t-il encagé étant libre au sens pénal? Or la situation tel quelle se présente montre un homme aliéné, la modernité l'a emprisonné, la culture se résume au JT de 20:00h, ou regarder un match de foot le week end.
Tout accès à la raison mène à la déraison, le langage perpétuel et incessant ne fait que propager un dialogue de sourds, du "tout normal". L'individu est écrasé par la grande machine industrielle, pour n'en faire finalement qu'un automate.
Ses pulsions se retourne contre lui, il devient paranoïaque, obsessif, et en somme plus apte à la consommation effréné.
Les conséquences:la névrose, l'impuissance, la violence conjugale, la destruction des foyers, la délinquance et bien d'autres maux auxquels on ne peut rester insensible .
Qui ont sont les bénéficiaires? là est tout le problème, car dans la plupart des cas se sont des conglomérats surpuissants, uniquement motivés par le profit, ils soutiennent les gouvernements, graissent des pattes, financent des campagnes électorales.
Comment résister? la lucidité, la diffusion d'information. Internet offre cette opportunité: celle d'éveiller les conscience. Car on parle là de champs immanents de consciences, qui doivent sans cesse se renouveler. ce qui implique qu'une démarche alternative n'est jamais veine, et peut apporter des résultats, aussi infimes soit ils.
lundi 4 février 2008
Utilisation de la mort:à qui la faute?
Libellés : Rapport à la politique
Publié par Hani Sariane à 2/04/2008 03:38:00 AM
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1 commentaires:
Vous avez soulevé un problème important mais qui semble toutefois inhérent à la nature humaine, qui débuta le jour ou Ulys décréta"ayons un seul maitre" appliquant par là toute la mécanique platonicienne, qui est je pense indissociable à la vie.
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